Cette année, la 17e édition du Bal en Blanc a eu lieu du jeudi 21 au lundi 25 avril. Bien sur, l’événement principal a accueilli la crème des DJ internationaux et s’est tenu le 24 avril, de 21 h à midi, au Palais des Congrès de Montréal. Cet événement de grande envergure a fait salle comble et plus de 15 000 billets ont été vendus selon le porte-parole, Paul Gilbert[1]. Il y avait beaucoup de grands noms comme Tiësto, Cosmic Gate et Markus Schulz, ce qui a fait plaisir à la foule.
Évidemment, un événement aussi important doit être sur les lèvres de tous les amateurs de rythme électronique, mais pour ce faire, on a dû communiquer l’information de la bonne façon pour atteindre le bon marché. Monsieur Gilbert a envoyé trois communiqués que j’ai pu lire sur le site web de playground[2].
Le premier a été publié le 21 mars et annonçait l’arrivée de Steve Angelo le 1er avril au Métropolis. On pouvait y lire un petit résumé des dernières réalisations du DJ ainsi que les informations sur les billets. Le deuxième communiqué a été publié le 13 avril et mentionne que le CD officiel est maintenant en vente. Il s’agit de la dixième parution de la série White Is Pure et cette année, c’est le DJ montréalais Étienne Ozborne qui a rassemblé quinze titres de la scène club. Le troisième communiqué a été publié le 15 avril et annonçait l’événement du 24 avril, ce qui impliquait tous les détails concernant les DJ invités et les informations sur l’achat des billets.
On peut deviner que les relations publiques et les relations de presse ne sauraient rejoindre à elles seul le public visé. Ils ont été très présents sur la Toile. Leur site officiel était très bien construit et incluait toutes les informations qu’un adepte de musique électronique doit savoir pour participer à la semaine du Bal en Blanc. On pouvait feuilleter en ligne le magazine officiel[3] de 37 pages tout en écoutant du Duck Sauce (Barbara Streisand). Le magazine présentait entre autre les DJ, les points de vente des billets, donnait des mises en garde concernant les drogues, et nous renseignait même sur le code vestimentaire. Le Bal en Blanc était aussi présent dans les médias sociaux. On pouvait les voir sur Facebook, Twitter, myspace et YouTube.
Pour conclure, je note que le Bal en Blanc a maintenant 17 ans et que cet événement a su vieillir avec sa clientèle. Il sait où la rejoindre et comment lui parler. Les publicités sont très parlantes et savent attirer l’attention. Ils ont compris que pour avoir autant de succès, la communication est un élément clé.
On peut deviner que les relations publiques et les relations de presse ne sauraient rejoindre à elles seul le public visé. Ils ont été très présents sur la Toile. Leur site officiel était très bien construit et incluait toutes les informations qu’un adepte de musique électronique doit savoir pour participer à la semaine du Bal en Blanc. On pouvait feuilleter en ligne le magazine officiel[3] de 37 pages tout en écoutant du Duck Sauce (Barbara Streisand). Le magazine présentait entre autre les DJ, les points de vente des billets, donnait des mises en garde concernant les drogues, et nous renseignait même sur le code vestimentaire. Le Bal en Blanc était aussi présent dans les médias sociaux. On pouvait les voir sur Facebook, Twitter, myspace et YouTube.
Pour conclure, je note que le Bal en Blanc a maintenant 17 ans et que cet événement a su vieillir avec sa clientèle. Il sait où la rejoindre et comment lui parler. Les publicités sont très parlantes et savent attirer l’attention. Ils ont compris que pour avoir autant de succès, la communication est un élément clé.
[1] Cyberpresse [En ligne] http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201104/25/01-4393149-bal-en-blanc-15-000-participants-une-arrestation.php (page consultée le 2 mai 2011)[2] Médias [En ligne] http://productionsplayground.com/Medias.html (page consultée le 2 mai 2011)[3] Magazine [En ligne] http://productionsplayground.com/Bal-en-Blanc-17.html (page consultée le 2 mai 2011)
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